Essam El-Naggar, Président du conseil d’administration de la( GOEIC), participe à une table ronde pour analyser les normes d’imposition des droits et des dépenses des services d’exportation et d’importation détenus par le Projet de « Développement du Commerce et des Exportations » où il a déclaré que la( GOEIC) est la seule autorité depuis plus de trois ans qui na pas émis des frais propres, que ce soit pour les exportations ou les importations, mais en cas même , a réduit les frais pour les exportations égyptiennes, la( GOEIC) travaille dur pour que les exportations égyptiennes atteignent les marchés africains.
Le Projet de « Développement du Commerce et des Exportations » en Égypte, financé par l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID), en coopération avec la société « Acumen Consulting », organise une table ronde pour analyser les normes d’imposition des droits et des dépenses des services d’exportation et importation dans le but de trouver des solutions exécutives et pratiques pour élaborer des politiques, des systèmes et des procédures liés au système du commerce extérieur, d’attraction des investissements locaux et étrangers, d’accroissement des exportations égyptiennes et ainsi, d’accroître leur compétitivité sur les marchés internationaux.
Ce séminaire fait suite à l’étude effectuée par le Projet « de Développement du Commerce et des Exportations » en coopération avec la société « Acumen Consulting » afin d’examiner les résultats de l’étude élargie et d’identifier les problèmes les plus importants qui entravent le système, et de se notifier a la gamme d’engagement des organismes gouvernementaux liés au commerce extérieur, en ce qui prévoit l’accord de la facilitation des échanges émanant de l’Organisation Mondiale du Commerce « AFE-OMC » concernant la valeur, le mécanisme et la méthodologie de l’imposition des droits et des dépenses pour les opérations d’exportation, d’importation et de transit qui sont l’un des facteurs les plus importants affectant le flux du commerce extérieur égyptien, qui se reflète directement par un saut qualitatif dans les exportations égyptiennes pour atteindre 100 milliards de dollars par an. Et cela, en présence des représentants des autorités compétentes du gouvernement et de la communauté des affaires.
L’étude vise à atteindre des résultats réalistes et tangibles pour identifier les aspects négatifs pour les éviter et les aspects positifs pour les activer. D’autre part, de nombreuses réunions ont eu lieu avec tous les partenaires dans ce domaine, soit d’organismes gouvernementaux ou semi-gouvernementaux, en plus du secteur privé pour identifier toutes les informations pertinentes, où l’accent a été mis sur la valeur et le mécanisme d’imposition des droits et des dépenses en soulignant le degré de transparence dans la publication des droits et dépenses pertinents et leur référence juridique, et en laissant une période de transition entre l’imposition ou la modification, l’application et le mettre en œuvre, Cohérence de la valeur des droits et dépenses avec le coût des services fournis, ainsi ,effectuer une discussion avec les parties prenantes avant d’émettre les droits et les dépenses, et enfin , une révision périodique pour la valeur et le nombre des droits et dépenses dans le but de réduire ou de limiter la valeur ou le nombre.
Rachid Benjelloun, directeur du projet de « Développement du Commerce et des Exportations » en Égypte, financé par l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID), a déclaré que le projet vise à développer le commerce et à limiter ses obstacles en fournissant un environnement approprié et encourageant pour les exportateurs nouveaux et ceux qui existent parmi les petites et moyennes entreprises du secteur privé en Égypte afin de les aider à atteindre de nouveaux marchés mondiaux et à augmenter le volume de leurs exportations en fournissant le soutien technique nécessaire à ces entreprises conformément à la vision du gouvernement égyptien visant à augmenter les exportations égyptiennes pour atteindre100 milliards de dollars. Le projet vise également à établir des partenariats solides avec les associations commerciales, les conseils d’exportation et le secteur privé afin de renforcer et soutenir l’environnement du commerce et de l’investissement grâce à l’élaboration des études qui contribuent à la réalisation de cet objectif.
Parmi les résultats les plus importantes conclus suite à l’étude, conformément aux meilleures pratiques internationales, citons: l’engagement de publier les droits imposées ou modifiées par les autorités sur leurs sites Web, en tenant compte de la création d’un portail national « Nafeza » pour les informations du commerce. Ainsi, la mise en place d’un système de notification électronique pour informer les parties prenantes de toutes mises à jour de la valeur des droits et dépenses, la publication de la base de données des droits et dépenses sur le portail de « Nafeza » et l’obligation pour les autorités imposant les droits, de prévoir une période de transition entre l’imposition et la publication des droits nouvelles , modifiées et leur entrée en vigueur. En plus, de charger le Comité National de faciliter les échanges, et cela par l’élaboration d’un mécanisme pour examiner les droits et les dépenses avant leur entrée en vigueur, faciliter la communication entre toutes les parties prenantes et modifier les droits de« Nafeza » . L’étude a également souligné la nécessité de renforcer les principes de recouvrement des coûts et d’élaborer « un modèle actuariel » pour les décisions de tarification des services fournis, en plus de la mise en œuvre progressive du système de gestion des risques en ce qui concerne l’inspection des marchandises et de l’annulation des droits et dépenses des marchandises en transit afin d’assurer le plein respect de l’Égypte dans les accords internationaux.
Il convient de mentionner que le projet de « Développement du Commerce et des Exportations » financé par l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID), en Egypte, œuvre à renforcer le commerce international de l’Égypte en augmentant les exportations égyptiennes et le volume des petites et moyennes entreprises.